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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Ah ! Te revoilà.
27/02/2006 15:05
Ah ! Te revoilà. C’est Toi, Est-ce bien toi ? Parti sans t’occuper de qui que ce soit. Disparu, néant, abandonnant mon cœur, La pluie pleuvait. Vint le signe de la noirceur.
Ton départ me fut tout un choc. Tout se glaça. Tout devint bloc. J’ai senti peu à peu ma vitalité me quitter, Triste, amère, les arbres j’ai effeuillés.
J’ai soulevé dans ma colère de grands vents. IL a plu, neigé, verglacé en même temps. Mais tu es là, à nouveau, près de moi, Je me sens revivre, le cœur en émoi.
Ta chaleur me caresse, m’envahit, Dans mes veines la vit rejaillit. Moi, la Nature, je remets tout en place, Feuilles, fleurs, fini le givre, la glace.
Je suis de plus en plus forte, Ta vigueur me pénètre, me supporte. Je ne veux pas penser à ton prochain départ, Car ce sera pour moi encore une fois, la mort....

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LA NUIT ET LE POETE
27/02/2006 12:56
LA NUIT Toi tu n’es qu’un rêveur, tu parles aux Pieux et aux rochers et tu prêtes l’oreille Aux vieux clochers, tu t’accroches aux Etoiles et à la nuit qui se voile.
Tu veux marier la lune, belle comme une prune Au soleil doux mais cruel et plein de lacunes, En un clin d’œil tu surplombes les dunes, d’une Baguette magique tu arpentes les vielles collines, Sur le sable mouvant tu dessines l’ombre de ta seule cousine !
LE POETE
Oui, j’ai mal de toi et tu es là quand le soleil s’en va Je suis fol amoureux de toi, malgré tout et malgré moi, Comment veux tu que je sois…si loin de toi, Je ne te comprends pas et pourtant le soleil te tue Aussi bien que moi.
LA NUIT
Tu rêves, ta vie n’est qu’un songe et tu vis comme un fou ; Dans le brouillard, tes pas avancent et dès que l’aurore Se lève, comme un vieillard, tu dors et tu renonces.
Par un verbe acerbe tu fais fuir les amis et combien Ils ont bu de ton chagrin et tes grands ennuis, Frère des mystères et de la mort, tu le montre et Tu souffre comme la vielle misère, tu te consoles Par le tors et tu t’apaise par la torture des remords.
LE POETE
Oui, j’ai côtoyé la misère et j’ai écouté les soupirs Des mourants et ceux qui sont dans la sale galère. Les amis ! Il y ‘en a ceux qui m’ont compris, le Mal dont j’ai souffert et mon rêve qui s’est enfoui, Ma vie qui s’évapore et mon âme qui me fuit !
Que tu es dure avec moi ma bien aimée la nuit et moi Qui n’a que toi dans cette vie et mes besoins de minuit J’ignore qui de moi t’a retourné; et le mal que tu m’a causé, Je ne crois pas qu’un jour, il soit tout à fait réparé…
Tu as été bien plus dure que l’amour que j’avais pour toi, Par le noir tu as effacé toutes les lumières qui me restaient, Tu m’a jeté toutes les pierres et tu as oublié mes prières qui Au ciel, comme de la brume, montaient toutes fières.
LA NUIT
Pourquoi à mes questions tu ne réponds point ? Et cette fantaisie qui de moi t’envoie si loin Mon silence tu en usais à tes vilaines fins Tu en parlais de tous et tu oublies ma faim
LE POETE
Tu ne comprends rien dans les choses de l’amour Ne te suffit point d’être si amoureux de toi et rien en retour ? Que c’est dur de suivre ton sinueux parcours ! Est-ce de la jalousie ou ta façon de faire la cour ?
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moralité
Elle "la nuit", le critique et le blâme…...lui "le poete", tout généreux et rêveur, lui exprime son amour et sa gratitude avec une telle douceur!…..une belle complicité malgré le différent ! Ils s’entendent bien malgré le conflit….
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Pseudo....
25/02/2006 19:14
Tout d’abord l’œil se pose sur une simple image, Un simple petit rien, découvrir ce visage. Et puis de ce clavier inerte, former un mot, Quatre lettres d’humour, parties au grand galop.

Retour d’une réponse qui tient en une question, Fragiles liaisons virtu-ailes d’un papillon, Les déployant au soleil de cet écran froid,
 Ambivalence d’un langage qui dit à moitié, Des clins d’œil mutins, qui nous tiennent éveillés, Petites confidences prêtées heures après heures, Distillation en ligne, parfum plein de douceur.
Et après quelques nuits à partager ces mots, Maux d’hivers et d’aujourd’hui, allant crescendo, L’impression de se connaître depuis toujours, Frôler les jeux interdits en parlant d’amour.
Puis de cette complicité en haut débit, De cette connexion liant deux indécis, Ne retenir au fond que la plus belle chose, Donner vie aux pseudos, afin que l’un d’eux, ose
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J'aurais voulu ...
24/02/2006 20:41
J'aurais voulu etre ton bouleversement, Le torrent de larmes de ton énorme chagrin.
J'aurais voulu etre ton tremblement de coeur, La dangereuse faille ou tu tombes, vaincu.
J'aurais voulu etre ton obsession finale, L'indélebile trace de ton amour fou.
J'aurais voulu etre le berceau de tes émotions, Le souffle de tous tes mots
d' amour.
J'aurais voulu etre tes coups de foudre, Le tonnerre qui te donne la fièvre.
J'aurais voulu etre tes yeux ronds de douceur, Si tu avais pu lire ces mots
J'aurais voulu que tu saches....
Est-ce un tremblement de terre ou celui d'un coeur, Ou la magie de l'amour en douleur ? Je crois que, C'est un éclat de tonnerre d'un coeur Qui dicte les mots de bonheur.
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